|
De atrás a delante, de izquierda a derecha:
Claudine, Jacqueline V., ?, Danièle, Ingrid, Rolando, Catherine, Jacqueline E., Laure
foto: Ingrid |
Recuperada finalmente de toda la (feliz) intensidad de este Sant Jordi, publico la reseña y las fotos que he recibido de las personas que estuvieron presentes en el concierto VERDI de Rolando Villazón en la Salle Pleyel de Paris, el pasado 22 de abril. Mille mercis a Catherine, Danièle, Ingrid et Claudine!
Pido disculpas a Danièle y Catherine porque me habían enviado también sus fotos, y no lo vi en la primera edición del post. Dos horas después de la primera publicación, añado tres de las fotos de cada una.
Concert VERDI - Salle Pleyel - 22 avril 2013
ENFIN!!!!! Rolando de retour à Paris...En effet, depuis décembre 2011 il n'y avait pas chanté et le public mourait d'impatience de le retrouver. La salle Pleyel, quasi comble, l'a donc accueilli avec enthousiasme et a salué chacun des arias très chaleureusement. Le programme, absolument semblable à celui de Hambourg,nous a permis de constater à quel point Rolando dominait parfaitement ce répertoire où il met toute sa fougue et où il sait traduire un éventail complet d'émotions. "L'exercice" du concert, avec les arias successifs, sans la cohérence d'un livret d'opéra, multiplie les difficultés et demande des qualités exceptionnelles, non seulement vocales mais aussi dramatiques, pour que le public adhère totalement à ce qu'il écoute. Ce fut le cas, et il n'y eut même pas une petite quinte de toux... pour interrompre la concentration de chacun....
Sans détailler chacune des mélodies, où Rolando brilla successivement, avec la même aisance, nous ne pouvons omettre d'indiquer nos préférences qui vont, sans hésitation, à "la mia letizia infondere" (I Lombardi)) qui fut interprété avec une vaillance extraordinaire, à "Eccomi prigioniero " (Il Corsaro) absolument bouleversant et à "Ciel, che feci !" (Oberto) que nous avions choisi comme notre favori sur le sondage du blog et qui fut chanté avec une rare intensité. Enfin," Deh, Pietoso, oh Addolorata" que nous avons découvert récemment lors du concert de Vienne, fut un véritable enchantement et lorsqu'il murmure, en une déchirante prière, "Sul vasel del finestrino, la mia lacrima scendea... il est difficile de retenir ses larmes.
Si nous ne devions émettre qu'un infime reproche, nous dirions que la tessiture parfois trop grave ne met pas toujours en valeur la merveilleuse voix de ténor de Rolando, mais sa remarquable technique et son sens inné de l'interprétation lui permettent de vaincre ce genre de difficulté, avec maestria. N'oublions pas de saluer le Czech National Symphony Orchestra, particulièrement le superbe solo du violoncelliste Martin Havelik durant le" Preludio" (I Masnadieri) et, bien sûr, le maestro Guerassim Voronkov, dont la complicité amicale avec Rolando, est particulièrement évidente.
Le public comblé ovationna longuement Rolando qui accorda avec sa générosité coutumière 3 bis : "Non t'accostare all'urna", "Il Poveretto" et "Brindisi" où il ne but que quelques gorgées du bock de bière sous les acclamations des spectateurs.
Une séance d'autographes était organisée à l'issue du concert et la foule de spectateurs euphoriques remplit le hall, attendant sagement que leur cher ténor leur accorde bien plus qu'une simple signature : dessins, photos et baisers...Même si Rolando avait affirmé (non sans humour) qu'il ne resterait que 5 minutes, il ne nous quitta qu'à minuit, emportant les fleurs et présents très nombreux qu'il avait reçus.
Cette tournée VERDI commence sous les meilleurs auspices et, nul doute, que toutes les villes d'Europe qui accueilleront notre très cher Rolando sauront rendre le même hommage tellement mérité à son immense talent.
Catherine et Danièle
|
foto: Ingrid |
|
foto: Ingrid |
|
foto: Ingrid |
|
foto: Ingrid |
|
foto: Ingrid |
|
foto: Ingrid |
|
foto: Ingrid |
|
foto: Ingrid |
|
foto: Claudine |
|
foto: Claudine |
|
foto: Claudine |
|
foto: Claudine |
|
foto: Claudine |
|
foto: Danièle |
|
foto: Danièle |
|
foto: Danièle |
|
foto: Catherine |
|
foto: Catherine |
|
foto: Catherine |
Un grand merci à Catherine et Daniele pour cette chronique fabuleuse et détaillée et pleine d’enthousiasme, et à Ingrid et Claudine pour les merveilleuses photos. Tout cela me permet de revivre cette expérience exceptionnelle.
RépondreSupprimerA Hambourg, dans « Deh, Pietoso, oh Addolorata" lorsqu'il a chanté, "Sul vasel del finestrino, la mia lacrima scendea... " il a accompagné ces dernières paroles d’un geste de main pour monter les larmes ... Un grand moment déchirant !
Dans "Il mistero", j’aimais beaucoup les graves ronds de Rolando, ils me semblaient comme le doux murmure de la mer.
Merci Catherine ,Danièle rien à ajouter analyse parfaite qui reflète bien mon ressenti .Ingrid tes photos sont très belles .
RépondreSupprimerJe reviens sur la séance de dédicaces un sourire ,une photo,une plaisanterie pour chacun (et nous étions nombreux ) la même attitude .
Je ne connais aucun autre artiste avec autant de patience ,gentillesse ,de simplicité et de sincérité .
Belle ,belle soirée ,pleine de chaleur et d'amour .
Viva Rolando
Gracias amigas por la reseña, las fotos de Rolando, pero sobre todo, por esa maravillosa foto con todas ustedes. Es fabuloso conocer las caras de quienes se han vuelto amigas a través del espacio y del arte
RépondreSupprimerUn beso a todas, a ti, Tere, y a Rolando
Esther
Thank you so much for the fantastic photos and the beautiful chronicle of a marvelous night in Paris for Rolando and everyone there. You know how much it means to those of us so far away, thinking of this lovely night!
RépondreSupprimerWhat a handsome and happy group you are in the first photo surrounding a jubilant Rolando. An auspicious beginning to the Verdi Tour!!
Son passage à Paris était attendu ,
RépondreSupprimerlors de la séance de dédicaces nous avons pu entendre de nombreuses personnes lui dire leur plaisir de l'entendre à nouveau à Paris !
Le succès de cette soirée était méritée , Rolando s'est donné sans compter !
et nous , ses admirateurs retenions la nuit pour faire durer le plaisir d'être avec lui !
Deux très belles photos d'Ingrid m'émeuvent particulièrement, celle de Rolando avec la rose qu'il tend en direction de Lucia, et la photo suivante.
RépondreSupprimerIl est très ému et son visage rayonne de mille feux comme un soleil mexicain !!!
Merci Ingrid !!
Lorsque Rolando paraît, le cercle villazonistas
RépondreSupprimerApplaudit à grands cris.
Son intense regard qui brille
Fait briller tous les yeux,
Et les plus tristes fronts
Se dérident soudain à voir l'artiste paraître,
inspiré et joyeux. (d'après Victor Hugo)
Oh là là! Nous avons une nouvelle Catherine, et c'est poète!
SupprimerJ'aime cette expression "Le Cercle Villazonista" ! Dans le Liceu il y a un très distinguée "Cercle del Liceu", alors nous pouvons avoir, comme institution, le "Cercle Villazonista!. Bienvenie, Catherine L. !
Catherine L est mon amie d'Othis, elle lit régulièrement le blog mais ne commente pas.
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup son texte qui nous reflète parfaitement.
Ahhh, très bien, Danièle, alors elle n'est pas inconnue, tu m'avais parlè dejà de ton autre amie Catherine!
SupprimerJoyous photographs. Gives me lovely warm feelings to see so many happy Villazonistas. Thank you for the reports too.
RépondreSupprimerMoi aussi, j'aime beaucoup "Le cercle Villazonista" : Nous entourons notre Rolando de notre tendresse et il nous la rend au centuple.
RépondreSupprimerCatherine L. et... Victor Hugo ont décidément beaucoup de talent...
J'ai omis de préciser dans le compte rendu du concert qu'étaient présents dans la salle : l'élégantissime Lucia, la chroniqueuse musicale, Eve Ruggieri et le coach vocal de Rolando, Raphael Sikorski.