Reproducimos, por su acierto y su fina ironía, el artículo breve de HM en Forum Opera. Las siglas pertenecen a Hélène MANTE y leer sus escritos es siempre un placer, por la inteligencia, el buen gusto y la sagacidad con la que están escritos.
Il y a quelques jours, l'une de nos brèves traitait de la proposition reçue par Martha Mödle, alors âgée de 74 ans, de chanter sa première Despina à La Monnaie, dont le directeur était Gérard Mortier. Aujourd'hui, nous apprenons dans une excellente interview menée par Renaud Machart, dans Le Monde, que Placido Domingo aurait refusé à Mortier... son premier Scarpia! Selon Domingo, que cette proposition a l'air d'étonner encore aujourd'hui, ce rôle de baryton dramatique aurait été la seule invitation de l'Opéra National de Paris pendant l'ère Mortier. Même si nous n'avons pas l'expertise vocale de Gérard Mortier, directeur d'opéra depuis de longues décennies, cette nouvelle n'aura pas manqué de nous surprendre. Ainsi se met-on à réfléchir: bientôt Sandrine Piau confessera-t-elle avoir refusé sa première Isolde au bouillonnant gantois ? Waltraud Meier lâchera-t-elle, dans un sanglot de regret, avoir refusé son premier Cherubino ? Peut-être même Pavarotti nous reviendra-t-il d'entre les morts pour nous apprendre que Gérard Mortier lui avait proposé le rôle de Lady Pamela dans Fra Diavolo ?
Y os reproducimos algún fragmento de la entrevista de LE MONDE (leer) a que hace referencia.¡No tiene desperdicio!
Y ATENCIÓN ESPECIAL A ESTE PÁRRAFO...
Dans un entretien publié dans le programme de "Cyrano de Bergerac" que vous avez chanté cet été au Théâtre du Châtelet vous vous plaignez d'avoir été "boudé" par les directeurs des opéras de la capitale...
Je chantais beaucoup au Palais Garnier sous l'ère Liebermann. Hugues Gall m'a invité pour Otello, Tosca, Carmen, puis cela s'est arrêté. Gerard Mortier m'a invité au Festival de Salzbourg mais c'étaient des rôles en concert, Parsifal, de Wagner, La Dame de pique, de Tchaïkovski... Pour l'Opéra de Paris, il m'a proposé, à ma grande surprise, de chanter Scarpia dans Tosca, qui est un rôle de baryton.
Est-ce parce que vous avez de longue date dit que vous souhaitiez aborder le rôle de Simon Boccanegra, de Verdi, qui est un baryton ?
Oui, mais un baryton essentiellement lyrique, avec des moments dramatiques, mais que je peux chanter sans forcer ma voix. Mais pas Scarpia ! Je le dis clairement : je ne veux pas devenir baryton ! Je ne dis pas que je peux chanter tous les rôles aigus de ma jeunesse, mais je suis et reste ténor, et je me sens même aujourd'hui davantage ténor qu'à d'autres moments de ma carrière.
Il me semble que vous étiez pourtant baryton à vos débuts...
En fait, on pense cela parce que les rôles importants de la zarzuela, que je chantais dans ma jeunesse, dans la compagnie de mes parents, sont pour baryton. Mais c'est un baryton élevé, proche de la tessiture du ténor. En travaillant professionnellement ma voix, ma tessiture s'est alors révélée être celle d'un ténor.
Y ATENCIÓN ESPECIAL A ESTE PÁRRAFO...
Comment vivez-vous la situation de Rolando Villazon qui a dû s'arrêter de chanter pour un temps... S'est-il brûlé les ailes en suivant votre exemple sans avoir votre résistance ?
Rolando est un être et un artiste extraordinaires - et un grand ami. Il donne tout en scène. Trop ? Je ne connais pas d'artiste qui souhaite s'économiser lorsqu'il chante. Je ne crois pas que ses ennuis soient dus à sa manière de chanter. Il a ce souci de cordes vocales mais il va le régler et reprendre le chemin des scènes. Je me réjouis que nous ayons en projet l'adaptation pour la scène lyrique, par Daniel Catan, d'Il Postino. Je jouerai le rôle de et lui celui du Postino.
¡Manda narices!
RépondreSupprimer¡ Sí Plácido llega a ser Scarpia no hubiera habido “Tosca” que lo rechace! Ja,ja,ja…..
¡Curioso personaje este tal Mortier! Vamos a estar divertidos con él en Madrid.
Sí señor, habrá Postino con Rolando tal y como dice Plácido.
!!! VAYA PAR DE EXTRAORDINARIOS ARTISTAS Y SERES HUMANOS !!!
Ha sido el mismo Mortier quien ha dicho que odia Puccini y que programará en el Real La Fanciulla del West con la Westbroeck porqué ella se lo ha pedido y ha tenido que ceder.
RépondreSupprimerNo sé si la propuesta de Mortier iba en serio o no, pero que Simon Boccanegra sea para un barítono lírico, me lo acaba de descubrir Plácido. Hay un dicho catalán que dice "Agafa't per aquí que no cauràs". Es decir por arte de magia convierto a Simón en lírico (como si fuera el papá Germont) y ya está. Lo dijo Blas.
Plácido puede hacer lo que quiera, está por encima del bien y del mal, se lo ha ganado a pulso y aún hoy admira al mundo. Pero que el Simon sea para barítono lírico que se lo explique a Sarrias, que era uno que como Calleja, escribía cuentos.
Sólo hay que repasar la lista de Simones para darse cuenta quien se ha atrevido con él, a parte del "tenor" Hampson que también se apunta a un bombardeo.
Me alegro de haya desestimado el Scarpia,m aunque imaginaros una Tosca con la Netrebko, Rolando de Cavaradossi i Plácido de Scarpia. Entradas agotadas sólo de imaginarlo.
ho paura che ci sia già un pregiudizio da parte dei Madrileni (spagnoli in genere), nei confronti di Gérard Mortier. E' stato per anni anche intendente a Gand(Belgio) e li' ha realizzato delle cose bellissime, riprese anche all'estero. Certo, é stato contestato anche li',perché forse troppo esperimentale o diverso ,troppo moderno per un pubblico alquanto tradizionale.Ha fatto sensazione pero' e lo fara' ancora, anche a Madrid, gaffe tipo Scarpia/Domingo. Percio' il pubblico spagnolo devra' prepararsi a "scandali",polemiche e discussioni.
RépondreSupprimerMortier, Mortier....por lo menos no deja indiferente a la gente ;)
RépondreSupprimerPero un poquito la pinza si se le va a veces, ¿no? :P
Y Don Placido...pues como si quiere cantar el Phillipo de Don Carlo...:)
Ja, ja, Joaquim, que imaginativos os ponen las vacaciones...esa Tosca Netre/Nen/Dios hubiera sido para acampar en medio del Teatro y vivir allí desde la premiere a la última función !
RépondreSupprimerMariù, como he puesto en la Cbox, ya me gustaria a mi tener a Mortier en el Liceu, aunque, como pasará en Madrid, un sector importante (por ser los que más se oyen) del público habitual lo recibiera con las uñas preparadas. Ya se estan haciendo campañas "anti-Mortier" en algunos foros españoles. Debemos admitir que una parte (más o menos importante numéricamente) de amantes de la ópera son muy, muy tradicionalistas en lo que esperan de una representación y tienen la mente muy cerrada a las propuestas diferentes e imaginativas. De estas, unas seran más acertadas que otras, pero para mi, el intento de aportar algo nuevo, reinterpretar los elementos de una ópera, muchas veces puede entroncar más con la voluntad inicial del autor (remover conciencias, denunciar comportamientos sociales, etc.) que el reproducir fielmente los elementos del momento en que se estrenó la opera. No se utiliza lo mismo para escandalizar ahora que hace cien años ¿no? pues lo importante es el resultado que pretendia el autor, no los medios con los que se obtiene. Lo de escandalizar es un ejemplo, pero puede aplicarse a todo aquello que se pretendiera con una obra.