28 févr. 2009

NUEVA WEB OFICIAL DE ROLANDO VILLAZÓN (en francés)


Universal Classics, la discográfica que engloba a DeustcheGrammophon y a Decca, ha puesto en funcionamiento una nueva página web oficial de Rolando Villazón, en francés: http://rolandovillazon.fr

Al ser nueva, posiblemente quede alguna cosa pendiente de pulir, pero en general está bien diseñada, y celebramos su publicación, porqué nos aportará más información, y más actualizada, sobre Rolando.

.

27 févr. 2009

Rolando no cantará en el estreno de Werther, el resto de funciones se mantiene.


No tenemos más información que ésta de la Opera National de Paris,
ampliaremos la notícia en cuando hayan más datos.

La web de La Bastille ya ha modificado sus fechas, el dia 28 lo adjudica a Tézier, en el resto se mantiene Villazón !


Más informaciones:

"Werther" à l'Opéra de Paris: Rolando Villazon forfait pour la première
PARIS Le ténor vedette franco-mexicain Rolando Villazon ne chantera pas le rôle-titre de "Werther" de Massenet samedi soir à l'Opéra Bastille à Paris "sur les conseils de son médecin", a annoncé vendredi l'institution lyrique dans un communiqué. - AFP - (leer)

el mismo texto, en español:
Rolando Villazón anula su participación en estreno de "Werther" en París - eleconomista.es

.

26 févr. 2009

ENSAYO GENERAL DE WERTHER EN LA OPÉRA BASTILLE


Ayer dia 25, por la tarde, tuvo lugar el ensayo general de Werther. La villazonista Catherine pudo asistir, y nos ha enviado su crónica, que agradecemos enormemente.

Repétition générale de Werther - 25/02/09 - opéra Bastille

Je ferai peu de commentaires, car il s'agissait de la dernière séance de travail avant la première et, comme annoncé, les chanteurs ne sont pas obligés d'y chanter à pleine voix. S. Graham et R. Villazon se sont donc économisés à juste titre, gommant ou écourtant certains aigüs ou transposant quelques phrases. Il était donc difficile, voire impossible,de se faire une idée sur leur interprétation, à part le côté scènique.

Franchement, j'ai vu de nombreuses mises en scène, parfois "pousiéreuses" parfois "modernes", mais là, je ne comprends pas tout. Pourquoi, dans un décor plutôt harmonieux, y-a-t-il ce mélange ?du très conventionnel, on passe à l'aberration d'un rocher au milieu de la scène , sur lequel trônent une chaise et une table où Werther doit rester continuellement.On parle de lui qui est sensé être absent, mais en fait il reste là, il écrit, il lit, il pleure, il somnole , il s'agite....il monte sur la chaise, sur la table...à la limite du ridicule...

Désolée, je ne comprends pas les intentions cachées du metteur en scène.
Les costumes sont assez laids, en particulier ceux de S. Graham aux 1er et 2 actes. Le couple n'est pas vraiment crédible : le ravissant visage de S. Graham ne fait pas oublier sa silhouette un peu trop imposante (vêtue de couleur vive) au côté de Rolando (en noir) de plus en plus mince. Il semble un jeune homme chétif amoureux d'une femme mûre. Un peu difficile d'imaginer ainsi le couple Werther/Charlotte... L. Tézier campe un Albert à la voix solide (presque trop), peu nuancée.

Rolando est le seul qui fasse l'effort de jouer son rôle avec l'énergie qu'on lui connaît.Fréquents décalages orchestre/chanteurs.

Un dernier mot sur l'essentiel dans Werther : l'émotion. Personnellement, je l'ai peu ressentie. Les protagonistes ne sont pas suffisamment à l'aise dans cette mise en scène pour qu'elle passe vraiment. Seul Rolando, lors de "lorsque l'enfant revient" et son air final, arrive avec le talent de comédien qui est le sien à bouleverser le spectateur.

Dans cette production, Werther est uniquement une victime. Rien d'autre . Pourquoi ???

Catherine

Foto: Catherine
.

25 févr. 2009

ROLANDO VILLAZÓN EN EL WERTHER DE NICE 2006


Rolando Villazón cantó por primer vez el rol de Werther en la Opéra de Nice, en enero del 2006.

Os dejamos una crónica de esas representaciones:

C'est sur la Côte d'Azur que Rolando Villazon a choisi d'aborder le héros de Goethe. Le ténor mexicain séduit par son émouvante fragilité.

Comme metteur en scène, Paul-Émile Fourny n'est pas de ceux qui optent pour la provocation ni même la distanciation à tous crins. On avait pu le voir voici deux ans à l'ORW avec son «Rigoletto» ou dans d'autres de ses mises en scène : un peu dans la lignée du Deflo des années 80, le Liégeois joue la carte d'une tradition qui sait le plus souvent trouver la voie de l'intelligence et de l'épure sans tomber dans le poussiéreux.

Certes, les décors de Charlie Mangel et les costumes de Véronique Bellone évoquent plutôt l'Angleterre victorienne et l'époque de Massenet que Wezlar ou le temps de Goethe mais, dans ses brèves notes d'intention publiées dans le programme de la soirée, Fourny le confie sans ambages après avoir énoncé les quatre thèmes autour desquels s'articule pour lui l'ouvrage (promesse faite à un parent mourant d'accepter un mariage de convenance, amour contrarié, explosion de la vérité et drame qui en découle). «Ma vision de «Werther» et mon concept de mise en scène demeurent très fidèles à l'ouvrage original dont j'ai tenté de restituer le rythme, le souffle et le message intemporel.»

Cette simplicité de l'approche a séduit Rolando Villazon qui a réservé au Belge, directeur de l'Opéra de Nice, ses débuts dans le rôle de Werther. Les deux hommes avaient, il est vrai, déjà travaillé ensemble voici quelques années pour «Lucia di Lammermoor» à Antibes. Un peu à l'image de son Don Carlo, le ténor mexicain séduit par sa fragilité émouvante et par la dimension presque torturée qu'il confère au héros de Goethe: certes, la diction française est perfectible et la voix manque parfois de mordant à pleine puissance, mais on reste confondu devant l'élégance du legato, la qualité de l'intonation et le moelleux d'un timbre fruité. Mieux encore, Villazon ne triche jamais, mais sait convertir en atouts ses quelques faiblesses.

Autour de lui, Fourny a rassemblé une bonne distribution d'où émergent le Bailli d'un autre Belge - Michel Trempont - la Sophie légère de Valérie Condolucci et la Charlotte très solide de Marie-Ange Todorovitch, même si l'impressionnante puissance scénique de la mezzo française ne donne pas à son personnage toute la crédibilité requise dans cette mise en scène, surtout face au Werther presque chétif de Villazon. Hors ce dernier, on apprécie la clarté de la prononciation de tous les protagonistes, mais aussi la transparence des pupitres l'Orchestre Philharmonique de Nice, dirigé avec beaucoup de finesse par un Patrick Fournillier qui sait rendre justice à ce que la partition de Massenet a de modernité.

Nicolás Blanmont - LaLibre.be


Algunas de las personas que frecuentan este blog fueron testigos de estas representaciones, y nadie mejor que ellas para que nos cuenten, en los comentarios, lo mucho que les conmovió la interpretación de Rolando.


Para que juzgéis por vosotros mismos, hemos subido ocho fragmentos a Youtube. Incluimos también el Pourquoi me reveiller, que ya estaba subido anteriormente.

I Act
Alors, c'est bien ici...Je ne sais si je veille


II Act
Oui, ce qu'elle m'ordonne...Lorsque l'enfant revient


III Act
Pourquoi me reveiller


Ciel ! Ai-je compris


Ah!...Moi! Moi! dans ces bras!


IV Act
Werther! Werther!...Qui parle?


A cette heure suprême...Oui, du jour même où tu parus


Noël! Noël! Noël! Noël!


Ah! ses yeux se ferment!...Là-bas, au fond du cimetière



23 févr. 2009

EN ATTENDANT WERTHER (Rolando Villazón a la Opéra-Bastille)


El próximo 28 de febrero, sábado, se estrena Werther (Jules Massenet) en la Opéra Bastille de Paris. La producción es de la Bayerische Staatsoper, con dirección musical de Kent Nagano y dirección escénica de Jürgen Rose.

Este Werther tiene la peculiaridad de que se interpreta en alguna funciones en la muy poco habitual versión de barítono. Dicen que Massenet, subyugado por la voz de Mattia Batistini, adaptó una versión para que Werther fuera interpretado por un barítono.

Así pues, unos días interpreta el papel principal en la versión tenor Rolando Villazon (28 febrero, 3, 6, 12, 15, 18 marzo) y otros en la versión barítono Ludovic Tézier (9, 22, 24, 26 marzo), al que vimos hace poco en Le Nozze de Figaro del Liceu interpetando al Conde Almaviva. Como curiosidad añadida, los dias en que Rolando canta Werther, Tezier interpreta entonces el papel de Albert. Charlotte es interpretada por Susan Graham, de gran solvencia en este papel.

Si alguien tiene curiosidad, Virgin editó en 2006 un DVD con Tomas Hampson en la versión barítono, en una versión concierto del Theatre Chatelet de Paris (2004), también con Susan Graham como partenaire. MÁS INFORMACIÓN SOBRE EL DVD Y LA VERSIÓN BARÍTONO.


Como hemos dicho, se estrena el 28 de febrero, y en la segunda función, la del 3 de marzo ...TENEMOS EL PRIMER ENCUENTO INTERNACIONAL VILLAZONISTA !!!

Catherine y Yvette tenían entradas para ese día, las habían comprado para esa fecha cuándo aún no se conocían. Maria Teresa y yo (Teresa) queríamos en un principio comprar entradas para el estreno del 28, pero al final decidimos cambiar y, gracias a las gestiones telefónicas de Yvette, conseguimos entradas para el día 3. Y posteriormente se añadió Daniele, que también consiguió entrada para ese día.

Creo haber leído que también otros villazonistas tenéis previsto ir en esa fecha, o
s animamos a los que vais ese día a que nos enviéis un correo confirmándolo, y concretaremos un encuentro en La Bastille, para poder saludarnos y compartir euforias villazonistas.

La producción no parece excesivamente atractiva, según mi gusto. Os pongo unas fotos de la Bayerische Staatsoper, donde Werther era interpretado por Marcelo Alvárez. Si clicáis en la última imagen, la quinta, podréis ver un resumen en video.









Hay una pregunta en la mente de todos...¿Y CÓMO ESTÁ ROLANDO? Pues por diversas informaciones que nos ha llegado, ROLANDO está perfectamente, y en plena forma !!!

Esperemos que nuestra cronista que asistirá al ensayo general del miércoles 25 nos dé información detallada al respecto.

El próximo post pondremos varios videos de Rolando, inéditos en Youtube, cantando el Werther de Niza. De momento, os dejamos con un magnífico dúo de Rolando Villazón y Vesselina Kasarova, cantando el Ciel! Ai-je compris?, en Berlín (2004).






.

20 févr. 2009

BREVES.......ROLANDO CANTA "SCHERZA, INFIDA"


Scherda, infida in grembo al drudo (9:41)


Scherza infida in grembo al drudo,
io tradito a morte in braccio
per tua colpa ora men vo.

Mà a spezzar l'indegno laccio,
ombra mesta e spirto ignudo,
per tua pena io tornerò.

Danke, Nika!

.

18 févr. 2009

LOS VIDEOS DE HANDEL ARIAS - ROLANDO VILLAZÓN

EN CHANDAL, BAILANDO HANDEL !

Hemos subido a Youtube los videos promocionales del microsite de Handel Arias, de Deustche Grammophon, para facilitar y aumentar la difusión.
Muchas gracias a la discográfica por esta magnífica presentación!


(en el momento de hacer el post, uno de los videos, el 4 , no estaba accesible, lo subiremos cuando lo esté).


1/5 HANDEL arias- Rolando Villazón - Promo video



2/5 HANDEL arias- Rolando Villazón - Interview



3/5 HANDEL arias- Rolando Villazón - Interview Paul McCreesh



5/5 HANDEL arias- Rolando Villazón - DOPO NOTTE ATRA E FUNESTA



.

BREVES...TRES NUEVAS DE HANDEL ( Y MICROSITE)

MICROSITE DE HANDEL, Arias (clicar encima para acceder)


Cel e terra armi di sdegno - Tamerlano (Bajazet)



Ombra mai fu - Serse (Serse)


Figlia mia, non pianger - Tamerlano (Bajazet)



16 févr. 2009

CANTANDO EN LA BAÑERA


Si no tuviera aspiraciones, mejor me hubiera quedado en la bañera, donde comencé a cantar.

Este es el titular de una de las muchas entrevistas que le han hecho a Rolando. Hoy os proponemos un repaso de las frases más contundentes, más relevantes que hemos encontrado en todas ellas, aquellas que nos permiten conocerle como artista y como persona.

Chi son...

De mayor quiero ser Rolando Villazón . De niño quería ser personaje de libro, un personaje escrito en una novela, porque los seres humanos más reales con los que yo convivía eran los personajes de la literatura. Es lo que hago ahora en el escenario: vivo sus vidas.

Sé que soy excéntrico, un poco estrafalario y exagerado; digamos que un poco operático en mi vida personal. No creo ser pedante ni arrogante, porque nunca lo he sido y no creo que me llegará a suceder. Tengo esposa y dos hijos, una vida personal que de alguna manera me hace tocar tierra todo el tiempo.

Siempre tuve la certeza de que iba a llegar lejos, aunque a veces cantaba de la burguer. Cuando veo videos de mí a los 27 años me pregunto cómo tenía tanta fe si cantaba tan feo, pero siempre estuve decidido a triunfar. Evidentemente dudé en momentos sin embargo, aquí estoy, haciendo lo que quiero y me gusta.

Me ha gustado estar en el ojo del huracán. Digamos que me ponen los retos. Nunca hay suficientes retos en la vida. Hay que buscarse más. Y despertar con toda una jornada por delante a la que podamos convertir en un día especial es el mayor desafío para cualquier persona.

Supongo que el día que sepa que busco habré llegado al final de mi destino.



Che faccio ...

La ópera es el lugar que ha permitido dar forma al grito de mi alma. La ópera no es un cuento de hadas. Creo en el teatro como una experiencia mística. Si logramos transmitir al público su carga emocional, la ópera sacude al espectador y le obliga a reflexionar sobre lo que ha vivido en el teatro. tiene la magia de salvarnos de las pequeñas tragedias cotidianas. Es un espectáculo intenso, irrepetible.

Lo que quiero es crear una conexión entre almas....... Quiero crear una catarsis, una conmoción, una explosión musical.

No estoy en contra de las escuelas que priman en lo vocal la belleza del sonido. Pero la fidelidad al mensaje debe ser total. No sólo se trata de cantar, hay que contar una historia, y cada recurso técnico tiene que estar al servicio de la descripción de los estados de ánimo del personaje. Si haces un piano o un forte, tiene que ser la consecuencia de ese estado de ánimo y no de un efecto escrito en la partitura o una manera de mostrar lo que eres capaz de hacer, algo más propio de un tipo de circo de la voz. En este proceso uno debe ser capaz incluso de sacrificar la belleza. Una búsqueda que llevo a cabo en los ensayos, donde jugamos a cometer errores. Más allá de una historia emocionante o una bella música. Cuando añades tu carne, el corazón se conmueve de una manera que quizás ninguna otra obra de arte puede hacerlo. Es algo que recomiendo, actuar cantando da mucho más placer.

Cuando lidio con emociones reales estoy prestándome para darles vida a seres humanos fantásticos, que existen en un mundo diferente, en el mundo cantado. Es el escenario del inconsciente. Cuando se ama se vive con una pasión en la que dentro se mezclan violines y trompetas y cuando alguien se muere sientes un dolor intenso.

Mi experiencia como artista y como espectador de la ópera es que cuando sientes un calor y una electricidad en todo tu cuerpo es que estás ante algo extraordinario.

Me encantaría llegar a ser director de escena..... y estoy seguro de que algún día lo haré. Y sería modernismo porque creo que hoy es posible una lectura moderna a la ópera respetando la música.. La verdad es que en las diversas producciones en las que participo siempre me cuestiono lo que hacemos y pienso cómo lo resolvería yo. De hecho ya tengo buenas ideas para Werther , Elisir y Traviata ... Ahora estoy concentrado en hacer de cantante, pero este sueño no es para cuando me retire. Me gustaría prepararme más, pero quiero dejarme el espacio para poder hacer una locura de este tipo, aunque me arriesgue a vivir un fracaso. No hay problema. En esta vida hay que arriesgarse. La ópera no puede permanecer anclada en el pasado, y hay que apostar por montajes innovadores que hagan vibrar al público, pero desde el respeto absoluto al compositor. Se puede y se debe hacer así.


¿Hacia dónde llevo y quiero encaminar mi voz? La llevo hacia donde tenga que ir, con la confianza de lo que hago. La voz es para mí como un caballo, y yo soy el jinete. No es un caballo salvaje, lo he preparado bien. Si le pido que vaya para un lado, que brinque, que se apacigüe, lo hace. Aunque también dejo un poco ese lado brioso, salvaje, por ser parte de su naturaleza. 'Vivimos en una época en que todo debe ser específico. Creen que por contar con un tipo de voz uno debe cantar un repertorio específico, tal autor y no. Uno debe cantar lo que le va bien a la voz, ser consciente de eso, y no interpretar lo que los demás dicen, entre ellos la crítica. Eso no significa que no escuche. Es muy importante hacerlo. Me importa mucho leer las críticas. Me hacen reflexionar y trabajar más en ciertos aspectos.

Hay que aprender a decir no» es una frase que me harta. Lo que hay que tener es los cojones suficientes para poder decir sí” yo en mi carrera no quiero negarme a nada. ¿Por qué lo iba a hacer?".. Debes tener una buena técnica, naturalmente, pero hay que fiarse del instinto si lo que quieres es crecer como artista.



E come vivo...

Lucho por no encerrarme en una idea falsa de vanidad y arrogancia. No quiero andar por la vida de tenor, que es un personaje que no me gusta. Cuando salgo del escenario me convierto en persona, y se acabó. La transición es el aplauso. Sigo con el vestuario, pero ya no es el personaje, sino el intérprete quien lo recibe. Que no me sienta personaje en la calle no significa que pierda a los que hago. Van siempre conmigo y, de vez en cuando, hablo con ellos, y hasta hacemos terapia de grupo.

¡Claro que es estimulante tener una gran noche: cantar bonito, recibir champaña y arreglos florales, y firmar muchos autógrafos. Pero también es bonito que a la mañana siguiente uno se despierta como persona normal y tiene que cambiarle el pañal al bebé.

Espero siempre entregarme a mi familia, lo mismo que al mundo de la lírica. No me asusta mi realidad ni el éxito. Quiero llegar tan lejos como sea posible. No se cuánto, pero espero que sea mucho.

Mi meta no ha sido llegar lejos, no ha sido triunfar, mi meta ha sido crecer como artista y ese ha sido el gran secreto.

¿Qué es la felicidad sino momentos luminosos en la gran línea de la vida? Yo estoy viviendo ahora esos momentos llenos de luz. Algunos tenemos la suerte de poder crearlos. Lo bueno está en que sea el corazón el centro de esos momentos luminosos.

.

14 févr. 2009

HANDEL ARIAS, ROLANDO VILLAZÓN: FOTOS, VIDEO, AUDIOS + INFORMACIÓN

El 16 de marzo está anunciada la salida a la venta del nuevo CD de Rolando Villazón, HANDEL Arias.

Ya habiámos hablado de ello en un post anterior, donde también podiámos ver un video (que tenéis también en la barra lateral izquierda):
Ahora tenemos más información, por ejemplo las diferentes opciones que nos ofrece Deutsche Grammophon. Cuatro exactamente, el CD "simple", la "Limited Deluxe Edition", que lleva un DVD incluído, y las dos mismas versiones en "German edition":

CD |D|D|D| 477 8056 |G|H|

Limited Deluxe Edition:
CD + DVD |D|D|D| 477 8057 |G|H 2|

German Edition:
CD |D|D|D| 477 8179 |G|H|

Limited German Deluxe Edition:
CD + DVD |D|D|D| 477 8181 |G|H 2|

Nosotras ya lo hemos encargado a través de Internet y esperamos que nos llegue muy pronto, aunque en esto los Villazonistas alemanes suelen tener más suerte.

La lista de arias incluídas en el CD es ésta:

CD Handel: Arias Rolando Villazon, Gabrieli Players, Paul McCreesh George Frideric Handel

1. Tamerlano, HWV 18: Ciel e terra armi di sdegno
2. Rodelinda, HWV 19: Fatto inferno
3. Rodelinda, HWV 19: Pastorello d'un povero armento
4. Serse, HWV 40: Frondi tenere e belle
5. Serse, HWV 40: Ombra mai fu "Largo"
6. Serse, HWV 40: Più che penso alle fiamme del core
7. Serse, HWV 40: Crude furie degl'orridi abissi
8. Ariodante, HWV 33: Scherza infida, in grembo al drudo
9. Ariodante, HWV 33: Dopo notte
10. Tamerlano, HWV 18: Oh per me lieto, avventuroso giorno!
Performer: Jean Gadoullet (Countertenor), Rolando Villazón (Tenor), Rebecca Bottone (Soprano)
11. Tamerlano, HWV 18: Figlia mia
12. Tamerlano, HWV 18: Tu, spietato, il vedrai
13. La resurrezione, HWV 47: Cosí la tortorella
Performer: Christopher Suckling (Cello), Rolando Villazón (Tenor), Robert Howarth (Harpsichord)
14. La resurrezione, HWV 47: Caro Figlio!
Performer: Robert Howarth (Harpsichord), Rolando Villazón (Tenor), Christopher Suckling (Cello)
Total Playing Time: [59:26]

En la versión Limited Deluxe, se incluye también un DVD que contiene:

DVD Handel: Arias
Serse - Performance Edtion by King's Music Act 1
Accompagnato: Frondi tenere - Arioso: Ombra mai fù [3:45]
Handel: Arias - Interviews Rolando Villazón & Paul McCreesh (5-08) [5:47]
Handel: Arias - Interviews Rolando Villazón & Paul McCreesh (10-08) [5:24]
Total Playing Time: [14:56]



A parte del vídeo que ya conocéis, existe otro que no podemos enlazar directamente, pero clicando en la imagen váis directos a la página donde lo podéis ver. No os perdáis la "coreografia" del minuto 2:00:



¿Qué os ha parecido? El aperitivo es realmente interesante, parece que éste va a ser un magnífico trabajo de Rolando, qua aportará, como ha sucedido antes con Monteverdi, una intensidad y una vitalidad nuevas a la obra handeliana.

Para que tengáis más elementos, os proponemos que escuchéis tres fragmentos, de unos 50 segundos cada uno, de estas tres arias:

Pastorello d'un povero armento (Rodelinda)


Dopo notte (
Ariodante)


Più che penso alle fiamme del core
(Serse)


Finalmente, os informamos de que existe un video de Rolando cantando Handel, de 75 minutos de duración, grabado en St. Paul's Church, en Deptford, cerca de Londres. Está grabado para UNITEL CLÁSSICA, y, aunque estamos pendientes de la respuesta a una consulta que hemos hecho, mucho nos tememos que sólo lo puedan disfrutar los televidentes alemanes. AQUI PODÉIS ENCONTRAR MÁS INFORMACIÓN.

Os dejamos una fotos de esta grabación:

ESTE AÑO DESEAMOS MÁS QUE NUNCA QUE LLEGUE LA PRIMAVERA,
CON EL NUEVO DISCO DE HANDEL COMO REGALO !

.

11 févr. 2009

INICIO DE ROLANDO VILLAZÓN EN LA OPERA: EL MAESTRO ARTURO NIETO


Rolando Villazón, nacido en 1972, comenzó su formación artística a los once años, al ingresar en la Academia de Artes Espacios, del Distrito Federal (Ciudad de México).

Unos años mas tarde, en 1990, en una festival de este centro, fue descubierto por el maestro Arturo Nieto, barítono que se dedicaba también a la enseñanza musical, junto con su esposa la soprano Angélica Dorantes.

Parece ser que Rolando interpretó Yesterdey, de The Beatles, y The Impossible Dream, de Mann of La Mancha. El maestro quedo muy impresionado por la voz fresca de aquel joven, y le propuso ser su mentor en los inicios de su formación operística. Rolando no se decidió a la primera, tuvo sus dudas, pero finalmente, convencido por el maestro, se lanzó a la nueva aventura.


Rolando
siempre recuerda en las entrevistas
, con gran afecto, al maestro Nieto, la primera persona que lo introdujo en el mundo de la ópera y vislumbró en él todo el potencial para convertirse en el tenor de primera fila que es ahora.

Aquí le vemos en una foto que muestra el trato familiar y el cariño entre el maestro Nieto, su esposa Angélica y Rolando.



Foto exclusiva para el blog Villazonista

Hay una historia que Rolando ha explicado varias veces: la primera vez que visitó al maestro Nieto, Rolando quedó perplejo ante una foto que estaba en el estudio: una foto del mismo Arturo Nieto con.........Plácido Domingo (al que Rolando ya admiraba profundamente), aún caracterizados como Silvio y Canio, respectivamente, después de una presentación de I Plagliacci en el Palacio de Bellas Artes de la ciudad de México. Rolando cuenta : “Cuándo vi esa foto, supe que estaba en el lugar correcto”.


Foto exclusiva para el blog Villazonista

El resto de la historia ya lo sabéis: más tarde ingresó en el Conservatorio Nacional de Música, para posteriormente convertirse en alumno del barítono Gabriel Mijares. En 1998 asistió a clases impartidas por Joan Sutherland en la Ópera de San Francisco, y en 1999 ganó el Premio del Público, el de Zarzuela y el Segundo Premio del concurso de Plácido Domingo, Operalia.

Os reproducimos las palabras de Rolando en una entrevista:
Comencé cantando canciones ligeras, de jovencito había estudiado música, interpretación, incluso danza, pero no tuve claro que quería ser cantante por lo menos hasta los veinte años. De hecho fue el barítono Arturo Nieto quien al escucharme cantar algo ligero me dijo que yo tenía que dedicarme a la música clásica; fue mi primer profesor. Pero me costó conseguir hacer lo que a mi me gustaba cantando, dentro de la disciplina del canto serio; y tuve dudas hasta que lo conseguí, hasta que logré el mismo placer que cuando cantaba canciones ligeras.

EN ESA ÚLTIMA FRASE ESTÁ LA ESENCIA MISMA DE ROLANDO VILLAZÓN:
CANTAR DESDE EL PLACER, DISFRUTAR CANTANDO.
ESO ES LO QUE TRASMITE, ESO ES LO QUE RECIBIMOS, ADMIRAMOS Y AGRADECEMOS.

Gracias a Jorge M. por la información y las fotos
y muy afectuosos y agradecidos saludos al maestro Nieto


A media tarde del dia 11, hemos recibido, a través de Jorge M.,
estas palabras del maestro Nieto:


Diles que les agradezco infinito incluirme en su blog. El hecho de que Rolando me mencione habla de su enorme nobleza. Por eso es tan grande. Pasé de haber sido su primer maestro a ser su primer admirador. (con todo respeto a los Villazonistas).

Agradecemos mucho al maestro que nos haya hecho llegar este mensaje. Es totalmente cierto, nadie tiene tanto derecho al título de "primer admirador" como la persona que, afortunadamente, le ofreció todo su apoyo y todo sus conocimientos para que empezara su brillante camino operístico.
.

8 févr. 2009

EMAIL A ROLANDO, MAPA DE ADHESIONES

podéis ver la imagen más grande clicando encima


EMAIL ENVIADO EL 12/02

Hola Rolando,

Somos un grupo de seguidores tuyos, de diferentes nacionalidades, que nos agrupamos entorno al blog http://rolandovillazon.blogspot.com, de Villazonistas del Liceu.

Hemos decidido hacerte llegar unas breves lineas, nunca hasta ahora nos habíamos dirigido directamente a ti como grupo, pero ahora nos parece un buen momento.

Hay decisiones duras, y tú has tomado estos días alguna de ellas. Pero no por difíciles son menos necesarias.

Sabes, sabemos, que el camino está por hacer, que a menudo la línea recta no lleva antes al destino deseado, que los desvíos, los descansos, los cambios de ritmo y las curvas inciertas añaden variedad, riqueza, y, sobre todo, sentido a la ruta.

Sabes, sabemos, que una de tus principales bazas es tu profundidad, tu verdad, tu emoción. Voces buenas existen bastantes, excepcionales algunas menos. Tú la tienes, y tus puntos fuertes, como sucede a menudo, pueden ser tus puntos vulnerables. Pero eso es lo que te diferencia y lo que nos apasiona de ti.

Sabes, y si no lo sabes te lo decimos, que somos muchos los que te seguimos, los que te apoyamos, los que disfrutamos con cada uno de tus trabajos, los que queremos hacerte llegar toda nuestra energía, todo nuestro agradecimiento y un fuerte y cálido abrazo !!!

Villazonistas:

Teresa, Maria Teresa, Tosca, Natalrol, Yvette, Daniele, Renée, Marife, Carme, Juanarmoreno, Angeliki, Hélène, Eleana Toulatos, Catherine, Joanna, Brendita, Pituca, Annie, Marcelle, Julio, Anneli, Alfonso, Antonella, Alya, Jette, Ludovica, Carlos, Cristina, Cecy, Nika, Hadley, Daniel Leon, Salarino, Awake, Alfredo, Gilda, GG, Triolka, Xavier, Jorge M., Nicolás, Eugene, Jose, Judit, Merchys, Janet, ChristinaLuise, Glòria, Kenderina, Hariclea, Isabel Hion, Sandro, Gemma, Jessica, Aleja, Martín, Montse, Traviata, Miguel A., opera_dilettante, Luis.

(somos de Barcelona, y también de Argentina, Francia, México, Italia, Bélgica, New York, Buenos Aires, Grecia, South Africa, Luxembourg, Denver-Colorado, Londres, Finlandia, Roma, Copenhagen, España, València, D.F., Germany, U.S.A., Valladolid, Alicante, Grenoble, Katowice (Polonia), Chile, Russia, Venezuela, Baltimore (Maryland), Castelló, Colombia, Seychelles)


La noche del día 5 varias personas en este blog comentaron la posibilidad de enviarle un email a Rolando haciéndole llegar nuestro soporte. Se redactó un texto, y se colgó en la columna izquierda, habilitando la caja de texto para recoger adhesiones. No pensamos, ni por un momento, en hacer un post sobre el tema, simplemente facilitar que las personas que habitualmente comentan en el blog pudieran firmar en este correo conjunto.

La realidad ha sido otra: han empezado a aparecer adhesiones de personas que, aún que nos dicen que leen el blog habitualmente, nunca habían puesto ningún comentario. Muchas, y de procedencias geográficamente muy variadas.

Estamos sorprendidas, contentas, recompensadas. Sabemos que la cantidad de visitas del blog va en aumento constante, pero hasta que alguien no escribe, no sabemos de su existencia, no nos llega su presencia ni su opinión.

Os agradecemos muchísimo a todas la personas, las que desde el principio habéis estado aquí, y las que os habéis "mostrado" ahora, que hayáis vencido la inercia, que hayáis escrito, que estéis aquí. Y nos ilusiona ver en el mapa del mundo, todos los sitios en los que esta marcada una banderita villazonista. Esta es la imagen de hoy, de esta noche, dos días después de poner el email en el blog.

Ahora si ,hacemos un post con el texto del email, con esta imagen tan potente y estas palabras.

Queremos aclarar que, dado que la caja de texto permite a la administradora comprobar la IP (número que identifica la conexión) de cada adhesión, hemos comprobado rigurosamente que no existan IP,s duplicadas, y que realmente correspondan a los lugares de origen que se citan, a través de una web que adjudica el lugar de origen a cada IP. Ha sido así en todos los casos, solo hubo un correo duplicado, que ya eliminamos. También queremos aclararos que citamos la procedencia de las personas según estas nos lo indiquen, sea país o ciudad, por eso se mezclan los dos conceptos.

Seguramente, haremos el envío a Rolando en un par de días, a través de varios conductos simultáneamente. Estamos seguros que le llegará, y esperemos que le trasmita TODO lo que TODOS nosotros le enviamos a través de esas palabras.

Os animamos, finalmente, a los que aún no lo hayáis hecho, a firmar el email, bien sea a través de la caja de texto anteriormente habilitada, o bien en los comentarios de este mismo post.


¡MUCHAS GRACIAS!

EMAIL ENVIADO EL 12/02


.

6 févr. 2009

ROLANDO VILLAZÓN CANTA JÚRAME

Hoy queremos poner algo enérgico, vibrante, con poderio. Hemos escogido JÚRAME, una canción compuesta por la mexicana María Grever. La grabación del video es del año 2006, del concierto en Berlin, Live from the Waldbünhne. Seguro que ya la conocéis, pero os invitamos a volver a escuchar ese Rolando potente que tanto nos gusta.





.

5 févr. 2009

Breves...ROLANDO CANCELA "IOLANTHA" (CON NETREBKO) EN BADEN-BANDEN

Rolando Villazón se ha puesto en contacto con el Baden-Baden Festspielhaus para comunicarles que cancela sus representaciones de Iolantha, de 18, 21 y 24 de julio de 2009, en las que compartía escenario con Anna Netrebko. El motivo aducido es que prefiere concentrarse en su repertorio, que no incluye esta ópera.

Pero se mantienen las funciones del Werther, en el mismo Festival, con Elina Garanca de los dias 7 y 10 de junio, añadiendo otra fecha, el 14 de junio, inicialmente no prevista ( como compensación).

Un fragmento del texto en francés de su carta:
« Tu sais à quel point il est important que les chanteurs se sentent totalement bien dans leurs rôles. C’est pourquoi, après mûre réflexion, j’ai décidé de ne pas intégrer ce rôle à mon répertoire et de me retirer, le cœur gros. »

En la web del Festival podéis leer la notícia.
Danke, plonky!
.

Rolando Villazón canta Handel: "Dopo notte, atra e funesta", de Ariodante


Ya ha aparecido (esta misma tarde) el primer avance del nuevo disco de Handel que Rolando Villazón grabó para DeustcheGrammophon en abril de 2008, con Gabrieli Players y Paul McCreesh, y que saldrá a la venta en el mes de marzo.
.
Dejando aparte que, por ser un video de la discográfica, podría tener una calidad de imagen muy superior y estar el nombre del aria bien escrito, al menos nos permite contemplar un nuevo modelito de camisa rolandera, en la linea de las que se pone para las grabaciones. De aquí a poco, un nuevo post..."En camisa de Rolando - II ".

En el video, Rolando nos ofrece el aria "Dopo notte, atra e funesta", de Ariodante. Como siempre, interpretación personal y emotiva, gesticulación latina...y la alegria de poder disfrutar de un nuevo trabajo suyo, por parte de sus seguidores.




Os ponemos la letra de la canción, que esta noche tiene más sentido que nunca,
después de la noticia del post anterior. Y una traducción muy apresurada..

Dopo notte atra e funesta,
splende in ciel più vago il sole
e di gioia empie la terra.

Mentre in orrida tempesta
il mio legno è quasi assorto,
giunge in porto e 'l lido afferra
.
Después de una noche oscura y terrible
el sol brilla mas reluciente en el cielo
y de alegria llena la tierra
.
Despues de que en horrible tempestad
mi nave casi naufraga
alcanza el puerto y se aferra a la orilla.

.