2 dic 2011

ROLANDO VILLAZÓN EN "LES AFFRANCHIS" DE FRANCE INTER, CRÓNICA E IMÁGENES

foto: Danièle


Ayer 1 de diciembre, por la mañana, Rolando participó en el programa Les Affranchis, de Radio Inter. Estuvieron presentes varias amigas villazonistas y Danièle, Ingrid A. y Catherine nos han hecho llegar su crónica e imágenes. Merci beaucoup!


Escuchar la emisión entera:



Rolando aparece a partir del minuto 44:25




TRANSCRIPCIÓN DE INGRID A. (una parte de la intervención de Rolando, en cuatro idiomas)

J’ai beaucoup aimé de faire la mise en scène et je vais le faire encore l’année prochaine, l’Elisir d’Amour, et j’ai été super content avec la mise en scène, avec le type de travail, un peu je suis content que la critique a été comme ça, d’un coté mauvaise, d’un coté super , extraordinaire, parce que autrement, ça veut dire que j’ai crée quelque chose, le public a adoré, les chanteurs ont été super content, et, à différence à la critique qu’on reçoit comme artiste, comme performer, comme chanteur, moi j’ai été au public, donc, j’ai un œil plus objectif de tous ce que vient pour tous qui a bien marché et pour tous qui n’a pas marché. Et donc, je n’ai pas vraiment besoin de ce coté de « cela est bien, cela est mal », après, les gens ils peuvent aimer ils peuvent ne pas aimer, ça c’est une autre chose.


Ich liebte es, zu inszenieren, und ich werde es wieder tun, im nächsten Jahr, für Elisir d'Amore, und ich war sehr zufrieden mit der Inszenierung, mit der Art der Arbeit. Eigentlich bin ich auch froh, dass die Kritik so war, einerseits schlecht, andererseits gut, hervorragend, weil, dass heisst ja, dass ich etwas geschaffen haben, das Publikum liebte es, die Sänger fanden es toll. Ausserdem gibt es den Unterschied zur Kritik, die man als Künstler, als Performer, also als Sänger erhält: Ich sass im Publikum, so habe ich eine objektiveres Auge auf das, was gut ging und das, was nicht gut ging. Daher brauche ich das eigentlich nicht, dieses „das war gut, das war schlecht“… klar, dann kann es den Leuten gefallen oder nicht gefallen, das ist eine andere Geschichte.
I loved to do the staging and I will do it again next year, for Elisir d'Amore, and I was really happy with the staging, with the type of work. I am even a bit happy about the critics, that was good, that was not so good, because it means that I have created something, the audience loved it, the singers were very happy. There’s also the difference to the critics I receive as an artist, as performer, I mean as a singer: I was sitting in the audience, so I had a more objective eye on everything what went well and all what didn’t went well. And so actually, I do not need this “this is fine, this is not fine”… then, of course, people can love it or they don’t, but that's another story.

Me encantó hacer una puesta en escena y yo lo volveré a hacer el año que viene, el Elisir d'Amore, yo he disfrutado mucho con la puesta en escena, con el tipo de trabajo, me alegro un poco de que la crítica ha sido así, de un lado mala, del otro lado magnífica, extraordinaria, porque eso significa que he creado algo, al público le encantó, los cantantes estaban muy contentos y, a diferencia de la  crítica que se recibe como artista, como intérprete, como cantante, ahora he estado entre el público, así que tengo una visión  más objetiva de todo lo que ha ido bien y todo lo que no ha ido bien Y por lo tanto no tengo necesidad de “esto está bien, esto está mal", puede gustar o no puede gustar, eso es otra cosa.



video: Ingrid A.



CRÓNICA DE CATHERINE Y DANIÈLE

Il fallait bien que ce soit dans l'unique but de voir Rolando pour que nous attendions durant presque une heure devant l'entrée de la Maison de La Radio, malgré les intempéries. Heureusement, la conversation animée sur notre sujet favori... avec quelques amies villazonistas présentes (Ingrid A. et Jacqueline V.) nous réchauffa le coeur à défaut de nous réchauffer les pieds...

C'était la première fois que nous assistions à une émission diffusée en direct et nous avions mal compris le concept des "Affranchis", imaginant que la première moitié serait consacrée à Line Renaud, la seconde, à Rolando.
Erreur !! L'invitée principale était  L.Renaud, affichant avec verve et humour ses 83 ans et, malheureusement, Rolando ne fit qu'une trop brève apparition.

Arrivant sur le plateau encore vêtu de sa parka, nettement moins exhubérant que d'habitude, il répondit aimablement (et patiemment...) aux sempiternelles questions sur sa  santé et le Mexique. Il en profita pour annoncer son concert du 3 décembre à la Salle Pleyel qui aurait dû servir de clôture à l'année du Mexique en France (annulée pour causes diplomatiques) et il confirma le plaisir qu'il avait de retrouver le public parisien pour la troisième fois avec ce répertoire cher à son coeur, accompagné par les Bolivar Soloists.

Lorsqu'Isabelle Giordano lui précisa que Line Renaud portait (à son intention) un médaillon offert par son ami Placido Domingo en 1996, lors d'Opéralia à Bordeaux, Rolando se déplaça pour aller lui baiser affectueusement la main. Ils se donnèrent rendez-vous à Londres, en juillet prochain, pour le Concert anniversaire des 20 ans d'Opéralia.
L'un des journalistes demanda à Rolando s'il buvait du Porto (comme Line R.), celui-ci répondit qu'il buvait avec grand plaisir une bière, après avoir chanté...

Rolando s'exprima avec chaleur sur sa mise en scène de Werther à Lyon, controversée par la critique mais très bien accueillie par le public. Il ajouta qu'il avait été lui aussi le public, en ces circonstances, ce qui lui avait permis de juger plus lucidement et il annonça sa prochaine mise en scène de" l'Elixir d'amour" à Baden  Baden, en juin prochain.

Au journaliste  qui se référait a sa très jolie phrase :.."On doit être capable de voler la musique au compositeur...", Rolando répondit qu'effectivement l'artiste devait d'abord savoir être  un soldat discipliné puis ajouta :"je crois que le vrai artiste prend la musique et ajoute ce qu'il a en lui".....

Avant de partir, Rolando signa quelques autographes et répondit gentîment aux questions des  élèves d'un collège.
Enfin, il posa avec ses amies villazonistas pour une photo souvenir prise par la responsable des Grandes Voix.

Nous aurions aimé qu'après les récentes interviewes de Rolando sur les ondes radiophoniques françaises, de nouvelles questions lui soient posées, plus axées sur son avenir que sur son passé . Dommage que le public n'ait pas pu intervenir....

Demain, un autre rendez-vous avec Rolando : Nous serons bien entendu à la Salle Pleyel pour la grande fête mexicaine où nous saurons reprendre en choeur (et de tout  notre coeur) : "Ay, ay, ay, ay, canta y  no llores....."

foto: Danièle

foto: Danièle

foto: Catherine


foto: Catherine

foto: Catherine

4 comentarios:

  1. ¡¡¡¡Muchisisisísimas gracias, Catherine, Daniéle, Ingrid y Teresa!!!!!!

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  2. Verdaderamente hay que estar loco por Villazón para hacer un crónica en imágenes de una entrevista, ¿la diferencia entre la foto 2 y 3, es que en esta última se parece más a Josema Yuste?

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  3. Joke Evers3/12/11, 7:28

    thank you very much for the piece with the radio interview with Rolando. I could understand the cronica in French, thank you for sharing it with us.

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  4. Bienvenido al Blog, George, aunque no sé si te has dado cuenta que es el Blog Villazonista y, si, efectivamente, si alguien asiste a una entrevista y me hace llegar crónica y fotos, se publican.
    Pero veo que la emoción de verlo te ha embargado y has confundido a Josema Yuste con Millán Salcedo.

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